lundi 31 octobre 2016

Erdogan chante la mort «Ne vous en faites pas, c’est pour bientôt»

Voilà la déchéance de l'homme qui aime encensé les bienfaits du meurtre vengeur pour satisfaire la masse de la tyrannie.

«Bientôt, bientôt, ne vous en faites pas. C’est pour bientôt, si Dieu le veut», a déclaré M. Erdogan lors d’un discours à Ankara, en réponse à la foule qui scandait «nous voulons la peine de mort» pour les auteurs du coup d’Etat manqué de juillet.

Une volonté du peuple

«Notre gouvernement soumettra cela au Parlement. Et je suis convaincu que le Parlement l’approuvera et, quand cela arrivera devant moi, je le ratifierai», a poursuivi le chef de l’Etat turc.

Que devons-nous attendre de se dégénérer qui a laissé transiter des dizaines de milliers de meurtriers qui ont fait grandir l'armée de l'État islamique en Syrie qui détruit un peuple assassinant la liberté opposée à leurs démences.
Et cet homme gouverne...
Et nous négocions des miettes de temps en espérant que la prochaine sera la bonne.

vendredi 28 octobre 2016

Assassinons le béluga pour le Dieu Dollar

Le Crime

Les chercheurs peinent toutefois à identifier clairement les raisons de cette mortalité élevée. Chose certaine, le dernier relevé de population fait état de moins de 900 bélugas, alors qu’ils étaient plus de 10 000 au début du 20e siècle. Qui plus est, cette population résidente du Saint-Laurent diminue en moyenne de 1 % par année.
 Le gouvernement fédéral a d’ailleurs reconnu officiellement en septembre le statut de plus en plus précaire de cette population en classant le béluga « en voie de disparition » en vertu de la Loi sur les espèces en péril.
 Ottawa a aussi promis en mai dernier qu’il protégerait finalement l’habitat essentiel de ces mammifères. L’habitat essentiel du béluga s’étend sur plusieurs centaines de kilomètres carrés de l’estuaire du Saint-Laurent. Le parc marin du Saguenay—Saint-Laurent, qui couvre à lui seul plus de 1245 km2, a justement été établi d’abord pour protéger les eaux fréquentées par cette population.
Le mobile 
 
Un tel statut légal pourrait donc entrer en conflit avec des projets économiques majeurs. C’est le cas d’Énergie Saguenay, un projet de liquéfaction et d’exportation maritime de gaz naturel évalué à 7,5 milliards de dollars qui serait construit à La Baie, près de Chicoutimi. Les imposants navires méthaniers passeraient en effet par le seul parc marin du Québec. Qui plus est, selon les plans de la Stratégie maritime des libéraux, des secteurs cruciaux pour les bélugas seront soumis à un trafic maritime accru au cours des prochaines années. Québec compte en effet développer une zone industrialo-portuaire à Saguenay et une autre à Cacouna, une région maritime considérée comme la pouponnière des bélugas.
Lorsque cet habitat jugé « indispensable au maintien des fonctions biologiques » de l’espèce sera officiellement désigné, le gouvernement aura l’obligation de le protéger, et donc d’évaluer les projets susceptibles de nuire aux bélugas.
http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/483258/2016-une-annee-noire-pour-le-beluga-du-saint-laurent

Pourquoi sauver une espèce que nous avons poussée à l'extinction. parce que ces problèmes sont étudiés depuis des décennies.
Nous avons agi quand l'opinion publique a regardé.
Mais le mal les avait déjà Euthanasié pour le plus grand bonheur de c'est industriel.
Il en reste 900 pour narguer ce monde qui les a tué à comptant leur dénombre.
Nous allons pousser l'audace à créer un parc maritime pour protéger leur habitat.
Mais il est trop tard pour les sauver
Félicitation pour notre sauvagerie, notre barbarie.
Nous pouvons encore faire mieux.
Il doit rester quelque baleinière Japonaise que se fera un plaisir de faire le sale boulot qui nous osons pas finir.
Les navires méthaniers pourront naviguer sur le plus grand parc marin devenu la mort, un cimetières du béluga.

lundi 24 octobre 2016

St-Mcdo, le Vatican lui ouvre la porte du paradis

Dernier, bastion que le capitalise vient de conquérir le Vatican et son indépendance contre les modes vient de vaciller. 

Détruire le passé de ces vielles pierre pour construire le temple du gras saturé et empoché une dîme de 30,000 Euro par mois.

Et la raison pour faire taire cette conscience pontificale nourrit la masse de touriste le plus rapidement possible.

Tant qui dépense leur fric dans cité du Vatican donnons des frites et des hamburgers.

Les sans-abri, attendront les miettes qui tomberont, s'ils ne sont pas détournés avant qu'ils atteignent le plancher par quelque ange cornu qui hante cette église.


http://next.liberation.fr/food/2016/10/24/au-vatican-les-eveques-digerent-mal-leur-premier-mcdo_1523955






dimanche 23 octobre 2016

La jungle de Calais une terre sans lois

Cette création de l’immobiliste de la France à prendre une décision est à quelques heures de sa fin.

Que dire sinon tous gens disperser dans des villes, des villages pour faire quoi ce sont des inadaptés sociaux qui avaient choisi cette vie au crochet d'une société éventrant au passage des camions, des trains, prenant une société en otage corrodant une région de tous les vices abusant de leur pouvoir, violant, abusant d'une jeunesse captive.


Non, les criminelles qui vivaient en eux ne s'évaporèrent pas en changeant de Ville, de Village.

Ces monstres l'État les a nourris, les a vues grandir pour devenir un problème de société.

Ce problème maintenant est dans votre rue, vous regarde, demain il fera la lois.

Le mal se régénère dans les gangs de rue qui vont leur ouvrir leur porte, les extrémistes religieux vont leur ouvrir leur porte en croyant en un Dieu vengeur de leurs misères de leurs rejets. 

Mais personne ne leur demandé de venir sinon un rêve. Leurs rêves et non les nôtres. 

Maintenant ce cauchemar est le vôtre.

lundi 17 octobre 2016

OTTAWA (Canada) Manuel Valls dénonce le voile islamique comme un outil politique

«Négation de la femme» « Il y a une bataille politique, culturelle qu’il faut
mener. Et je pense en effet que les signes religieux sont souvent moins des signes religieux que des revendications politiques ou culturelles », a déclaré M. Valls aux quelques journalistes présents. « Comment on le traite ? Chacun a son modèle, chacun a sa réponse. Mais je considère, moi, que la burka, le voile intégral, est un élément profond de la négation de la femme. Cacher la femme de l’espace public, c’est la négation de la femme et ça, ce n’est plus un problème de religion. C’est un problème de valeurs démocratiques. » Il note que les femmes qui revendiquent le droit de porter ce voile intégral sont souvent de « jeunes femmes converties dans des quartiers où il y a une culture de l’islam qui pèse »« Je ne crois pas que l’évocation de la liberté comme élément qui justifie qu’on puisse laisser les femmes s’habiller ainsi avec le niqab, le voile intégral, la revendication de la seule liberté ne m’apparaît pas suffisant. » M. Valls rappelle que le voile a déjà été l’apanage, à une certaine époque, de « toutes les femmes du pourtour méditerranéen, quelle que soit la religion ». Mais le voile d’aujourd’hui doit se comprendre dans un contexte géopolitique large. « Dans les territoires délivrés en Irak par les forces kurdes ou les forces arabes, les gens de ces villages qui ont subi le joug de Daesh enlèvent les voiles, écoutent de nouveau de la musique et se coupent la barbe. Parce qu’ils ont vécu avec ce joug. Qu’en Occident on puisse défendre comme un élément d’émancipation et de liberté, notamment la liberté de la femme, de porter un voile intégral ou un burkini sur la plage, personnellement, ça m’étonne toujours. » D’ailleurs, lorsqu’on lui demande s’il voit un lien entre le port de la burqa ou du burkini et une certaine radicalisation, s’il faut voir l’un comme le précurseur de l’autre, le premier ministre français répond sans hésitation : « Oui, bien sûr. […] Oui, ce sont des signes politiques qui sont parfois, pas toujours, l’avant-garde de ce mouvement. »

http://www.ledevoir.com/politique/canada/482149/ottawa-entretiens-entre-le-premier-ministre-francais-valls-et-justin-trudeau

Une leçon politique de la réalité de la France. Ignoré ces mots ses dires non au présent, A un pays sous respirateur artificiel qui est en états de guerre sur son territoire, dans ces quartiers qui fume encore l'odeur de ces victimes innocentes. Ignoré cette France qui a cru en l'homme mais a rencontré la folie de ces hommes qui se sont drapé de la religion pour ce faire pardonnée le mépris de la vie transmettant l'assassinat comme réponse.

Est-cela que nous voulons pour nous il suffit de regarder et d'agir.

Laissons leurs Jeunesse

Quels sont ces hommes, ces femmes qui transmettent à leurs enfants qui ont été instants de leur vie plaisir, une naissance, un bonheur.
Vous ne leur donnez que la mort comme espoir.
Qui êtes-vous pour prendre leurs rêves? Vous qui avez échoué Vos vies dans le mépris de la haine.
Eux, un d'avenir sans vous qui est le passé sans amours qui déteste tellement la vie que vous leur apprenez à tuer leurs demain.

Regardé un instant cette douleur qu'elle devra regarder autrui sans amour.

http://www.dreuz.info/2016/10/16/video-une-fillette-apprend-a-decapiter-vous-ne-devinerez-jamais-sa-religion/

mardi 11 octobre 2016

« Musulmans, chrétiens, juifs et athées sont tous égaux» Libéré Raif Badawi


Il est nous, le prolongement de la liberté de notre pensé. Libre dans ces mots, libre dans sa pensée.

Cette liberté contre une tyrannie du passé qui veut tuer toutes paroles de dissidences.

Emprisonnées pour les sans paroles et nous dans notre confort que fessons pour lui, pour eux.

Notre gouvernement se gave des pétrodollars;
le gouvernement Saoudien est la représentation du mépris de la la vie et des libertés humaines aussi longtemps.

Que nos gouvernements se font les complices des tyrans en les dénonçant pas dans leur lâcheté.

Nous devons prendre la parole pour eux dans leur goulag silencieux ils ne peuvent que rêver de Liberté.

Libéré Raif Badawi




lundi 10 octobre 2016

Trump est l'Amérique avec tous ces défauts

Un politicien menteur lequel de ces politiciens pas.

Riche lesquels de ces politiciens qui les pas.

Arrogant lequel les pas.

Effrayant dans cette sa démesure. 
Lesquels de ces Américains les pas.

Sexiste la culture Américaine est son industrie.
Vantardise ils le sont tous.

Mais il vous dira jamais qu'une fellation n'est pas un acte sexuel.

Trump est le produit de ce pays sans vernis, dérangeant, dans ces paroles sans filtre.

Il assume ce qu'il est un bouffon qui s'est géré.

Qu'a-t-il encore à cacher ?

Clinton représente l'usure du pouvoir, des rêves qui n'ont jamais été réalisés. Bill a pris sa place et détruit toute crédibilité qu'une nation aurait en elle avec un double langage celui public et celui des corporations.

Un passé politique elle a été de toutes les crises internationales et n'a rien réglé. 

Une démocratie a besoin de changement pour continuer à grandir et évoluer. 

Cette Amérique n'a pas besoin de gens qui prouvé qu'elle ne pouvait pas gérer de simple courriel.


mardi 4 octobre 2016

L'Union européenne assassine la démocratie directe du peuple un vote, un homme et la Liberté de dire Non

La Commission européenne, par la voix du commissaire chargé de l'immigration, a déclaré que quels que soient ses résultats, le référendum hongrois «n'aurait aucun impact juridique» car «les Etats-membres ont la responsabilité d'appliquer les décisions prises». Certes les résultats du référendum du 2 octobre 2016 ont été invalidés en raison d'une participation de 40% inférieure au seuil des 50% nécessaire selon la loi hongroise. Il reste que 98,7% des votants se sont prononcés contre les quotas d'accueil. Pour la Commission, l'unanimité du peuple hongrois ne compte pas. Selon elle, face au droit communautaire, ou supposé tel, la sensibilité d'un peuple, même exprimée aussi nettement lors d'un référendum, n'a pas la moindre importance. L'Union européenne atteint ici une contradiction fondamentale: comment peut-on se réclamer de la démocratie - le pouvoir du peuple - en niant aussi frontalement et explicitement toute valeur à la voix du peuple?
Quand un homme, une femme ce levé le matin, pour aller déposer un bout de papier dans une boîte que peur eux ce geste est un prolongement de leur être, de leur vie. Ce geste démocratique qui est au-dessus de tout traité qui brime leur liberté d'expression.
Un référendum est le dernier rempart démocratique avant l'anarchie.
Ne pas prendre compte des résultats est le viol de la liberté de choisir.
À vous les conclusions ?
Quand le peuple crie et ces rois deviennent sourds
Cherchons, la direction de la Bastille. 


dimanche 2 octobre 2016

2, 973 personnes, assassinées appartenant à quatre-vingt-treize pays un 11 septembre l'Arabie saoudite impliqué mais personne ne les condamne.

https://www.wsws.org/fr/articles/2016/jul2016/pers-j18.shtml


Documents publiés sur la connexion saoudienne dans les attentats du 11 septembre: le camouflage révélé

Par Bill Van Auken 
18 juillet 2016
La diffusion vendredi 15 juillet d'une partie du rapport du Congrès sur les attaques du 11 septembre, gardée secrète pendant 13 ans, apporte une nouvelle preuve de ce qu’on a délibérément camouflé le rôle joué non seulement par le gouvernement saoudien, mais encore par les agences américaines de renseignement pour faciliter les attaques et dissimuler ensuite leur origine réelle.
L’extrait long de 28 pages du rapport publié par l’« Enquête conjointe sur les activités de la communauté du renseignement avant et après les attaques terroristes du 11 septembre 2001 » apporte d’abondantes et accablantes preuves du vaste soutien saoudien aux pirates du 11 septembre (15 sur 19 étaient des ressortissants saoudiens), dans la période ayant précédé les attentats contre le World Trade Center et le Pentagone, où ont péri près de 3.000 personnes.
La Maison-Blanche d'Obama, la CIA, la monarchie saoudienne et les médias patronaux ont tous tenté de présenter les documents, publiés un vendredi après-midi pour garantir qu’ils passent le plus possible inaperçus, comme exonérant d’une certaine manière le régime saoudien de toute culpabilité dans les attentats.
« Cette information ne change pas l'évaluation du gouvernement américain qu’il n'y a aucune preuve que le gouvernement saoudien ou des individus saoudiens aient financé al-Qaida », a déclaré Josh Earnest, le secrétaire de presse de la Maison Blanche vendredi, se vantant de ce que la principale signification de la publication d’une partie du rapport était qu’elle prouvait l'attachement du gouvernement Obama à la « transparence ».
En réalité, les 28 pages avaient été gardées sous clé depuis 2002 et seuls les membres du Congrès avaient le droit de les lire dans une salle souterraine de Capitol Hill; il leur était défendu de prendre des notes, de se faire accompagner de membres de leur personnel ou de révéler quoi que ce soit sur leur contenu.
Le gouvernement Obama, comme celui de Bush avant lui, a maintenu ce secret pour plusieurs raisons. D'abord, il craignait que les documents ne mettent en péril ses relations avec l'Arabie saoudite qui, après Israël, est le plus proche allié de Washington au Moyen-Orient, un partenaire dans ses opérations sanglantes en Afghanistan, en Syrie et au Yémen, et le plus grand acheteur d'armes américaines au monde.
En outre et surtout, il craignait que les 28 pages ne révèlent plus encore l’abjecte criminalité du rôle joué par le gouvernement américain pour faciliter les attaques du 11 septembre, puis les mensonges sur leur origine et leur exploitation pour justifier ses guerres d'agression brutales, d'abord contre l'Afghanistan puis contre l'Irak, qui ont coûté plus d'un million de vies. Le discours fallacieux créé autour des attentats du 11 septembre reste le pilier idéologique de la campagne mondiale de militarisme menée par les Etats-Unis au nom de la «guerre contre le terrorisme ».
Les informations des médias sur ces 28 pages parlent invariablement d’une absence de « preuve irréfutable », ce qui serait probablement quelque chose comme un ordre signé par le roi saoudien d’attaquer New York et Washington. Les preuves sont qualifiées de « non concluantes ». On ne peut qu'imaginer ce qu’aurait été la réaction si, à la place du mot « saoudien », les documents avaient parlé d’actions irakiennes, syriennes ou iraniennes. On aurait alors déclaré la même preuve un argument irréfutable pour la guerre.
Parmi ceux qui ont participé à la préparation du rapport John Lehman, ancien secrétaire à la Marine, contredit directement la réponse officielle à la publication de la section précédemment censurée. « Il y avait une participation terriblement nombreuse des Saoudiens pour soutenir les pirates de l'air, et certaines de ces personnes travaillaient dans le gouvernement saoudien, » a-t-il dit. « Notre rapport n'aurait jamais dû être lu comme exonérant l'Arabie Saoudite ».
L'ancien sénateur de Floride Bob Graham qui présida le comité chargé de l'enquête a lui, suggéré que l'information publiée vendredi n’était que le début. « Je considère les 28 pages presque comme, en quelque sorte, le bouchon de la bouteille de vin. Et une fois qu'il est sorti, nous espérons que le reste du vin lui-même va commencer à couler, » a-t-il dit.
Ce qui ressort clairement du document nouvellement publié, intitulé « Résultats, discussions et récit concernant certaines questions sensibles de sécurité nationale », c'est qu'il y avait de multiples indications de financement et de soutien aux pirates du 11 septembre et à Al-Qaïda en général, mais que les enquêtes ont été soit arrêtées, soit jamais commencées en raison des liens étroits entre Washington et la monarchie saoudienne et entre les agences de renseignement américaines et saoudiennes.
Le document commence par ces mots: « Alors qu'ils étaient aux États-Unis, certains des pirates de l'air du 11 septembre étaient en contact avec, et ont reçu un appui ou une assistance, de personnes qui pourraient avoir des liens avec le gouvernement saoudien ». Il cite des sources du FBI qui indiquent que certaines de ces personnes étaient « des agents de renseignement saoudiens ».
Il indique ensuite que les enquêtes du FBI et de la CIA sur ces liens ne furent ouvertes qu’en réponse à la demande d’enquête du Congrès. « [C]e fut seulement après le 11 septembre que le gouvernement américain a commencé à enquêter de façon agressive sur cette question », indique le rapport. « Avant le 11 septembre, le FBI n'a apparemment pas concentré les sources de l’enquête sur [expurgé] des ressortissants saoudiens aux Etats-Unis en raison du statut de l'Arabie Saoudite comme allié américain.»
Le rapport se concentre en partie sur le rôle d'un certain Omar al-Bayoumi, qu’on avait décrit au FBI comme un agent de renseignement saoudien ayant, selon les dossiers du FBI, « fourni une aide substantielle aux pirates de l'air Khalid al-Mihdhar et Nawaf al-Hazmi après leur arrivée à San Diego en février 2000. »
Le rapport d'enquête traite du rôle d’al-Hazmi et al-Mihdhar seulement à partir de leur arrivée en Californie et ne dit rien des circonstances où ils ont été autorisés à entrer dans le pays en premier lieu. Tous deux étaient surveillés par la CIA alors qu'ils assistaient à une réunion de planification d’Al-Qaïda en 2000 à Kuala Lumpur, Malaisie, et placés sur une « liste de surveillance » du FBI au cas où ils entreraient aux États-Unis. Les deux hommes furent néanmoins autorisés à entrer aux États-Unis le 15 janvier 2000, à l'aéroport international de Los Angeles, pour aller ensuite à San Diego. A partir de là, on leur a permis d’opérer librement, de fréquenter l'école de pilotage en vue de leur rôle dans les détournements du 11 septembre 2001.
Al-Bayoumi, constate le rapport, « a reçu le soutien d'une société saoudienne affiliée au ministère saoudien de la Défense, » recevant un salaire pour un emploi fictif. Le rapport indique que la société avait aussi des liens avec le chef d'Al-Qaïda, Oussama ben Laden.
Selon le rapport, al-Bayoumi avait déjà travaillé pour l'Association de l'Aviation civile saoudienne et, dans la période précédant le 11 septembre, était « en contact fréquent avec l'émir responsable de la régulation du trafic aérien au ministère saoudien de la Défense. » Les enregistrements téléphoniques ont démontré qu’il avait appelé des agences gouvernementales saoudiennes 100 fois entre janvier et mai 2000.
Des documents du FBI ont également établi que les $465 de « frais » qu’al-Bayoumi avait reçus par le biais de l'entrepreneur militaire saoudien, a bondi à plus de $3.700 peu après l'arrivée d'al-Hazmi et al-Mihdhar. Pendant cette période, al-Bayoumi a initialement permis aux deux futurs pirates de l'air de rester dans son appartement avant de leur trouver un logement propre – avec un informateur du FBI à San Diego – cosignant leur bail et payant la caution et le premier mois de loyer.
Le rapport déclare que les enquêtes du FBI après le 11 septembre indiquaient qu’al-Bayoumi avait « des liens avec des éléments terroristes.» Sa femme, quant à elle, recevait une allocation mensuelle de $1.200 de la princesse Haifa Bint Sultan, l'épouse du prince Bandar, alors ambassadeur saoudien aux États-Unis et plus tard chef du renseignement dans son pays.
On cite aussi dans le document comme probable agent de renseignement saoudien un dénommé Oussama Bassnan, qui habitait en face des deux pirates de l'air dans la même rue à San Diego et était en contact téléphonique avec al-Bayoumi plusieurs fois par jour au cours de cette période. Il a apparemment mis les deux hommes en contact avec un pilote de ligne saoudien pour des discussions sur « la formation au pilotage d’avions à réaction Boeing », selon un rapport du FBI. La femme de Bassnan recevait elle aussi une allocation mensuelle, de $2.000 par mois, de la princesse Haifa, l'épouse de l'ambassadeur saoudien. En outre, le FBI a trouvé un chèque de $15.000 signé par Bandar lui-même en 1998 à l’ordre de Bassnan. Le rapport dit que les informations du FBI indiquaient que Bassnan était « un extrémiste et partisan d'Oussama Ben Laden, » et parlait du chef d'Al-Qaïda, « comme si c’était dieu ».
Comparaissant devant l'enquête du Congrès en octobre 2002, l’adjoint du directeur exécutif du FBI pour le contre-terrorisme Pasquale D'Amuro a réagi avec un cynisme et un mépris non dissimulés lorsqu'on l’interrogea sur les paiements de la femme de l'ambassadeur saoudien aux épouses des deux agents de renseignement considérés être en rapport avec les pirates de l'air du 11 septembre.
« Elle donne de l'argent à un grand nombre de groupes et de personnes différents partout dans le monde,» a-t-il dit. « Nous avons été en mesure d’en découvrir un certain nombre... mais peut-être que si nous pouvons établir qu'elle donne à 20 groupes radicaux différents, eh bien, oh là là, peut-être bien qu’il y aurait là une tendance. » Ainsi s’exprime un homme qui se croit au-dessus la loi en défendant un personnage qu'il estime clairement intouchable.
Dans le rapport se trouvait aussi le compte-rendu d'un interrogatoire par le FBI de Saleh al-Hussayen, un responsable de premier plan du ministère de l'Intérieur saoudien, qui séjournait dans le même hôtel en Virginie que trois des pirates de l'air la nuit avant les attaques du 11 septembre. Alors qu'il a affirmé ne pas connaître les pirates de l'air, les agents du FBI « croyaient qu'il voulait les tromper ».
Selon le compte-rendu, al-Hussayen « a feint une crise » et a été libéré pour aller à l'hôpital, qu’il a quitté plusieurs jours plus tard pour prendre un vol retour vers l'Arabie saoudite, sans être interrogé davantage. Au cours de la même période, près de 1.200 personnes, sans lien avec les attaques, étaient arrêtées et détenues sans contact avec l’extérieur du simple fait qu’elles étaient arabes ou musulmanes.
Dans le rapport, il y avait également le fait qu'un carnet de numéros de téléphone avait été trouvé appartenant à Abu Zubaydah, membre d’Al-Qaïda toujours détenu à Guantanamo après une longue torture aux mains de la CIA. Ce carnet contenait les numéros de sociétés ne figurant pas à l’annuaire, qui organisaient et assuraient la sécurité du séjour dans le Colorado du prince Bandar, l'ambassadeur saoudien, ainsi que le numéro d'un garde du corps de l'ambassade d'Arabie Saoudite dont, dit le rapport, « certains ont allégué qu’il pourrait être un [mots expurgés] ».
Des expurgations de ce genre se répètent tout au long du document pour des Saoudiens individuels, ce qui suggère leur appartenance à une sorte de service secret dont le nom ne doit pas être mentionné. Ce n’est là qu’une partie de ce que le matériel secret cache encore. Des membres du personnel de l'enquête auraient protesté, en colère, face à l'incapacité de présenter clairement la preuve de l'implication saoudienne; cela a conduit au renvoi d'au moins un membre de ce personnel.
Si le gouvernement est déterminé à continuer de protéger ces connections saoudiennes, c'est sans doute parce qu'elles révèleraient l'implication dans les événements du 11 septembre des services de renseignement américains eux-mêmes.
S’il est nécessaire d’étouffer de telles affaires, c’est parce que des éléments au sein du gouvernement des États-Unis étaient conscients de ce qu'Al-Qaïda préparait une opération sur le sol américain, ont fermé les yeux ou l’ont même facilitée parce qu'ils savaient qu'elle pourrait être utilisée comme prétexte pour mettre en œuvre les plans de longue date d’une guerre d'agression au Moyen-Orient.
La publication, même limitée, d’informations sur les connexions saoudienne et américaine dans les attentats du 11 septembre dévoile de façon dévastatrice les criminels au sein du gouvernement des États-Unis, tant George W. Bush que ses subordonnés, et les mensonges qu'ils ont employés pour organiser des guerres qui ont détruit la vie de millions de personnes.
Ces faits nouveaux exigent une enquête approfondie, impartiale et internationale ainsi que la mise en accusation et l'arrestation de hauts responsables, américains comme saoudiens. 
(Article paru en anglais le 16 juillet 2016)
Sommes devenues aussi insensible que nous refusons d'admettre et de condamner un pays qui est lié au terroriste islamiste. 
Sommes devenues aussi insensible a la vie des n'autres que nous laissons les pétromonarchies assassinées dans nos propres pays.
Sommes-nous devenues tellement assoiffé de pétrodollars que pour nous le commerce prime sur les valeurs démocratiques et des libertés individuelles et laissons l'islamisation implosée les Amérique ?
Quel avenir avons-nous avec des gouvernements collaborateurs de criminelle.
Dollars et commerce et compte bancaire dans des paradis fiscaux la nouvelle politique de nos gouvernants.
Et devenez une victime, une statistique dans la colonne dommages collatéraux de la guerre au terroriste.
Réveillez-vous, et dites non à ce mépris de la vie.

À ça sent là l'odeur des amis du Pouvoir 200 000 $ pour se faire conseiller sur ses promesses électorales Pacha Trudeau (Canada)

OTTAWA – Le gouvernement Trudeau dépensera au moins 200 000 $ d’ici la fin mars 2018 pour se faire conseiller au sujet de ses promesses électorales.
Le Globe and Mail dit avoir obtenu en vertu de la Loi sur l’accès à l’information des documents révélant que le Bureau du Conseil privé a signé un contrat de deux ans, à 100 000 $ par année, avec Sir Michael Barber, un expert britannique de ce qu’on appelle en anglais la «deliverology», soit l’art de remplir ses engagements.À la fin du contrat passé avec l’entreprise de Sir Michael, Delivery Associates Ltd, établie à Londres, le gouvernement aura l’option de le prolonger d’une autre année.Selon le Globe and Mail, le gouvernement Trudeau n’est pas allé en appel d’offres pour ce contrat.
http://www.journaldemontreal.com/2016/10/02/gouvernement-trudeau-200-000-pour-se-faire-conseiller-sur-ses-promesses-electorales

Argent, argent, ton argent, mon argent, ces promesses.

Mais c'est moi qui paie, le fromage pour la trappe à souris pour mieux nous attrapé dans l'énorme mensonge médiatique.

Sommes devenues simplement une marchandise qu'on peut s'offrir avec une bonne campagne de marketing.

Nous vivons, respirons, et réfléchissons.

Est-ce que ce pacha respecte l'intégrité de notre personne, de nos besoins où il ne cible que le pouvoir pour quelque selfie, et bien-être de ces courtisant.

Et nous ?


Près de 15% des ménages canadiens vivent sous le seuil de pauvreté

Erdogan: «Il n’y a aucun obstacle pour que la Turquie devienne membre de l’Union Européenne»

Non, à la dictature


Au , 25 917 personnes ont été placées en garde à vue dans le cadre de l'enquête sur la tentative de coup d'État. Par ailleurs, 13 419 personnes ont été mises en détention préventive, et les passeports de 74 562 personnes ont été confisqués. De plus, près de 5 000 fonctionnaires de l'État turc ont été licenciés de leurs fonctions et 80 000 suspendus. Le gouvernement a fermé 4 26 fondations, hôpitaux, institutions éducatives, associations, médias, syndicats et entreprise.


Le 19 juillet, le Conseil supérieur de l'audiovisuel de Turquie (RTÜK) indique avoir retiré la licence de plusieurs chaînes de télévision et de radio proches de Fethullah Gülen. Vingt-quatre chaînes sont concernées. Dans le passé, ce fut ainsi le cas de la chaîne Samanyolu TV, éjectée du réseau de satellites Türksat, et du quotidien Zaman, mis sous tutelle, qui furent censurés car gülenistes. Le Conseil supérieur de l'audiovisuel de Turquie (RTÜK) informe également avoir privé 34 journalistes de leur carte de presse. De plus, une trentaine d'employés du Conseil supérieur de l'audiovisuel de Turquie (RTÜK) sont écartés. L'association turque de radio et de télévision (TRT) suspend 300 membres de son personnel. D'après l'association des radios amateurs de Turquie (Türkiye Radyo Amatörleri Cemiyeti Genel Merkezi), le gouvernement turc a révoqué 3213 licences de radios amateurs et leur a interdit toute émission vers l'étranger. Le 25 juillet, 42 journalistes sont placés sous mandat d'arrêt. Parmi eux, se trouvent des journalistes de premier plan notamment Nazlı Ilıcak. Le 27 juillet, la justice turque émet des mandats d'arrêt contre 47 anciens employés du quotidienZaman. Le même jour, les autorités turques annoncent la fermeture de 131 organes de presse : 45 journaux, 29 maisons d'édition, 23 stations de radio, 16 chaînes de télévision, 15 magazines et 3 agences de presse. Il s'agit majoritairement de médias d'envergure provinciale, mais la chaîne de télévision pro-kurde IMC TV, le quotidien d'opposition Taraf et l'agence de presse Cihan, proche des gülenistes sont également touchés. Le 29 juillet, 17 journalistes sont placés en détention préventive pour« terrorisme ». Selon le syndicat des journalistes lié à la Fédération DISK, 2 308 journalistes ont perdu leur emploi depuis la tentative de coup d'État. Ce chiffre ne prend pas en compte les stagiaires et les journalistes en free-lance. Le , le parquet d'Istanbul émets des mandats d'arrêt contre 35 personnes travaillant dans les médias.
L'écrivain turc et Prix Nobel de littérature Orhan Pamuk critique ces arrestations (et particulièrement celles des frères Altan, journalistes turcs) et s'exprime ainsi sur la purge dans une tribune accordée au journal italien La Repubblica : « En Turquie, on est en train, petit à petit, d’enfermer dans des cellules toutes les personnes qui se permettent d’exprimer les critiques même les plus minimes sur les actions du gouvernement (...), sur la base de la haine la plus féroce. Désormais, la liberté de la pensée n’existe plus. Nous sommes en train de nous éloigner à toute vitesse d’un État de droit vers un régime de terreur. » Le 22 septembre, l'un des frères Altan, Ahmet, a été remis en liberté.

La viole de la liberté d'expression, de parole, de pensée, arrestation pour des opinions politiques, des soi-disant membres d'un complot. Fermeture de média de communication.

Collaboration avec l'État islamique et de ces crimes, achat de bien venant de pillage dans un autre territoire en guerre. Chantage pour monnayer une immigration Syrienne.

Vous représentez le passé qui refuse la démocratie et la liberté pour chacun.

Qui est incompatible avec le présent

samedi 1 octobre 2016

Laissons les vivre...

Cessons de harceler cette grosse sardine pour quelle photo pour notre ego. Sommes devenues que des paparazzi de l'écologie.

Quand des gouvernements responsables interdiront de tel comportement. Ils y des lois qui interdit cela entre humains mais ces animaux n'ont pas d'avocat pour défendre leur intégrité territoriale, leurs espaces pour vivre, ils ne donnent pas leur cotisation à des partis politiques.

Ils sont devenue otage visuel au détriment du stress que nous causons volontairement et des séquelles que nous leur infligeons. Ils ont tous près de disparaître pour l'appât du gain de quelque Nation insensible a la vie qui les a massacré pour se sois disant recherche scientifique mais en fais leur chaire se retrouvait dans des assiettes de leurs bourreaux.



Ont ce dit doté de consciences on parle de qui, de quoi si on est incapable de sauver notre patrimoine planétaire.