vendredi 28 octobre 2016

Assassinons le béluga pour le Dieu Dollar

Le Crime

Les chercheurs peinent toutefois à identifier clairement les raisons de cette mortalité élevée. Chose certaine, le dernier relevé de population fait état de moins de 900 bélugas, alors qu’ils étaient plus de 10 000 au début du 20e siècle. Qui plus est, cette population résidente du Saint-Laurent diminue en moyenne de 1 % par année.
 Le gouvernement fédéral a d’ailleurs reconnu officiellement en septembre le statut de plus en plus précaire de cette population en classant le béluga « en voie de disparition » en vertu de la Loi sur les espèces en péril.
 Ottawa a aussi promis en mai dernier qu’il protégerait finalement l’habitat essentiel de ces mammifères. L’habitat essentiel du béluga s’étend sur plusieurs centaines de kilomètres carrés de l’estuaire du Saint-Laurent. Le parc marin du Saguenay—Saint-Laurent, qui couvre à lui seul plus de 1245 km2, a justement été établi d’abord pour protéger les eaux fréquentées par cette population.
Le mobile 
 
Un tel statut légal pourrait donc entrer en conflit avec des projets économiques majeurs. C’est le cas d’Énergie Saguenay, un projet de liquéfaction et d’exportation maritime de gaz naturel évalué à 7,5 milliards de dollars qui serait construit à La Baie, près de Chicoutimi. Les imposants navires méthaniers passeraient en effet par le seul parc marin du Québec. Qui plus est, selon les plans de la Stratégie maritime des libéraux, des secteurs cruciaux pour les bélugas seront soumis à un trafic maritime accru au cours des prochaines années. Québec compte en effet développer une zone industrialo-portuaire à Saguenay et une autre à Cacouna, une région maritime considérée comme la pouponnière des bélugas.
Lorsque cet habitat jugé « indispensable au maintien des fonctions biologiques » de l’espèce sera officiellement désigné, le gouvernement aura l’obligation de le protéger, et donc d’évaluer les projets susceptibles de nuire aux bélugas.
http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/483258/2016-une-annee-noire-pour-le-beluga-du-saint-laurent

Pourquoi sauver une espèce que nous avons poussée à l'extinction. parce que ces problèmes sont étudiés depuis des décennies.
Nous avons agi quand l'opinion publique a regardé.
Mais le mal les avait déjà Euthanasié pour le plus grand bonheur de c'est industriel.
Il en reste 900 pour narguer ce monde qui les a tué à comptant leur dénombre.
Nous allons pousser l'audace à créer un parc maritime pour protéger leur habitat.
Mais il est trop tard pour les sauver
Félicitation pour notre sauvagerie, notre barbarie.
Nous pouvons encore faire mieux.
Il doit rester quelque baleinière Japonaise que se fera un plaisir de faire le sale boulot qui nous osons pas finir.
Les navires méthaniers pourront naviguer sur le plus grand parc marin devenu la mort, un cimetières du béluga.

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