mercredi 28 décembre 2016

L'islamiste au coeur du pouvoir en Tunisie

La Tunisie compte plus de 5000 ressortissants dans les rangs d'organisations djihadistes à l'étranger, notamment en Irak, Syrie ou encore en Libye, selon le groupe de travail de l'ONU sur l'utilisation de mercenaires, et leur retour au pays suscite de grandes craintes.
À l'appel d'un collectif comprenant notamment des organisations non-gouvernementales, la manifestation a rassemblé quelque 1500 personnes, selon les organisateurs.
«Non au retour des djihadistes!», pouvait-on lire sur les pancartes.
Ce rassemblement intervient quelques semaines après des propos très commentés du président tunisien Béji Caïd Essebsi au sujet des djihadistes.
«Nombre d'entre eux veulent rentrer, on ne peut pas empêcher un Tunisien de revenir dans son pays (...) Mais évidemment (...) nous allons être vigilants», avait-il déclaré le 2 décembre à l'AFP.
«Nous n'allons pas les mettre tous en prison, parce que si nous le faisons nous n'aurons pas assez de prisons, mais nous prenons les dispositions nécessaires pour qu'ils soient neutralisés. Nous les surveillons», avait-il ajouté.
Après des critiques dans la presse tunisienne et sur les réseaux sociaux, M. Essebsi avait précisé son propos le 15 décembre à la télévision publique, assurant: «On ne sera pas indulgent avec les terroristes» qui reviendront et auxquels s'appliquera la loi antiterroriste.
«Non à la repentance! Non à la liberté pour les groupes terroristes», ont scandé samedi les protestataires, dont certains clamaient également des slogans contre Rached Ghannouchi, chef du parti islamiste Ennahdha membre de la coalition gouvernementale.
M. Ghannouchi avait soutenu dans le passé l'idée de «repentance» pour les djihadistes tunisiens qui voudraient rentrer chez eux, à la condition qu'ils abandonnent la violence.
La manifestation de samedi intervient également moins d'une semaine après l'attentat sur un marché de Noël à Berlin qui a fait 12 morts et dont l'auteur présumé est un Tunisien de 24 ans qui devait être expulsé d'Allemagne.
Ce dernier avait fait allégeance au groupe djihadiste État islamique (EI), qui a revendiqué l'attentat, selon une vidéo diffusée par l'agence de propagande du groupe.
Trois djihadistes présumés liés au suspect tunisien ont été arrêtés vendredi, a annoncé samedi le ministère tunisien de l'Intérieur sans toutefois mentionner s'ils avaient un lien avec l'attaque.
Vendredi soir, le ministre tunisien de l'Intérieur Hédi Majdoub avait indiqué devant le Parlement que 800 Tunisiens ayant rejoint une organisation extrémiste étaient rentrés en Tunisie.
Depuis la révolution de 2011, la Tunisie fait face à l'essor d'une mouvance djihadiste armée responsable de la mort de plus d'une centaine de soldats et de policiers, mais aussi d'une vingtaine de civils et de 59 touristes étrangers selon des chiffres officiels.

Ces hommes ont tué, torturé, violé, volé, saccagé et certain dans ce gouvernement voient comme légitime qu'ils reviennent dynamiter la fragile démocratie Tunisienne.

Mais qu'elle est est gouvernement qui peut fournir 5000 mercenaires Islamistes et prendre à la légère leur retour sinon qu'il avait un intérêt à déstabiliser, la Syrie y installer l'État islamique.

Que la population Tunisienne se lève et hurle après avoir cru un instant à cette islamiste les avait sauvé, mais voient maintenant les bienfaits de la démocratie.

Mais ces ce sont ces Tunisiens qui mirent en place ces gouvernements et ils comprennent la corrosion pour un pays de cette islamiste tentaculaire qui on commit tant de meurtres et se posent la question. Mais demain nous seront une autres Syrie ces monstres reviennent, nos enfants que nous avons élevés dans notre religion de tolérance on commit tous ces actes. 

Mais en fait se pose-t-il les vraies questions sur le pourquoi d'une t'elle dérivent. 

Et ce gouvernement a exporté c'est terroriste et refuse de reconnaître les siens qui empoisonnent les démocraties.

Dans quel but ce mépris de la vie. 

Cette islamiste est au coeur du pouvoir et attende c'est mercenaire pour reprendre le pays. Il est plus que tant a population de terminer leur révolution en prenant le vrai pouvoir en excluant toute partie soi-disant religieux.

Mais est-il trop tard ?

Et Bien oui ces Noël une fête qui est décalée de leur réalité mais ils sont dans un passé vont attaqué un marché pour faire prendre conscience au mécréant que nous pouvons les assassiner dans notre lâcheté Islamiste frappée dans l'hypocrisie de nos mots, avec de sourire menteur. 

Intolérance, ce grand mot que ce dévoreur de chair humaine s'acharne à manipuler pour vous approcher et prendre vos vies, votre demain.

Aucun commentaire:

Publier un commentaire