mercredi 21 décembre 2016

Merkel, voila vos décisions...un homme à surveiller et libre, 2 morts et 48 blessés. Bof de ces des citoyens qui voteront pas contre vous.

Merkel continue de flageller l'Allemagne pour son passé.
Quand son peuple va lui dire que sa conscience elle doit vivre avec et assumer sa psychothérapie seule.

Et demain ce son la souffrance des meurtres qui ont été commis par la main de la haine cette haine que cette femme qui a ouvert la porte en sachant les conséquences du dérapage de l'intolérance de l'État islamique aux démocraties, aux valeurs individuelles, aux libertés de la femme...

Cette haine qui est transportée par le passé qui refuse de mourir ce passé rempli de la corruption de l’âme qui croit détenir la vérité du psychotique qui délire. 

Selon son père, ainsi que des responsables de sécurité cités par la station tunisienne Radio Mosaïque, Anis Amri a quitté Oueslatia, dans le centre de la Tunisie, il y a sept ans. Migrant en situation irrégulière en Italie pendant trois ans, il a été condamné en Italie pour l’incendie volontaire d’une école. Il aurait également été poursuivi pour vols avec violences en Tunisie.

Le nouveau suspect, Anis Amri, est arrivé en Allemagne à l’été 2015, via l’Italie où sa trace se retrouve dès 2012. Amri n’est pas un inconnu pour les enquêteurs. L’homme, qui avait déposé une demande d’asile politique en Allemagne en avril 2016, était dans le collimateur de la police depuis plus d’un an. Dans un registre des services de renseignement, son nom était accompagné de la mention «liens présumés avec l’EI. Contrôle intensif de la personne». Depuis le printemps, son nom figurait sur le fichier des 949 personnes considérées comme «dangereuses», c’est-à-dire à même de passer à l’acte - l’équivalent allemand d’un fichier S. Anis Amri est suspecté de contacts avec la cellule d’Abou Walaa, un salafiste accusé d’avoir entretenu un réseau spécialisé dans le recrutement de jihadistes pour l’Etat islamique, finalement arrêté en novembre avec quatre de ses fidèles. Abou Walaa, 32 ans, irakien, de sa véritable identité Ahmad Abdelaziz A., est connu en Allemagne sous le nom de «prédicateur sans visage», car il prêchait de dos dans ses vidéos.

http://www.liberation.fr/planete/2016/12/21/berlin-sur-la-piste-d-anis-amri_1536840

Des décisions qui ne sont jamais prise de peur d'assumer la responsabilité d'être celle qui demande l'expulsion des indésirables.

Celle qui devrait défendre la simple personne sans nom mais vivra sans l'amour de ceux qui les ont quitté.


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