vendredi 4 août 2017

Les illégaux traitements de faveur, les Québécois discriminés

1• À la frontière, il choisit s’il reste au Québec ou s’il part dans une autre province.
2• À son arrivée à Montréal, il est installé en centre d’hébergement.
3• Il doit se rendre au centre de Citoyenneté et Immigration Canada sur la rue Saint-Antoine pour obtenir une date d’audience devant un commissaire qui étudiera la recevabilité de sa demande d’asile.
4• Il fait une demande d’aide sociale qui sera traitée en 48 heures. Il obtient un premier chèque dans les huit jours suivants, s’il n’a pas les moyens de subsister.
5• Une fois son chèque d’aide sociale en poche, il peut se trouver un logement.
6• Plus d’un mois après son arrivée, il est reçu par un commissaire en immigration qui va traiter sa demande d’asile.
7• Le migrant peut faire une demande de permis de travail. La durée de traitement des dossiers n’est pas connue.

http://www.journaldemontreal.com/2017/08/03/le-canada-est-oblige-daccueillir-les-migrants

Vous voyez, les normes son clair, il peut.
Jamais il est dit, il doit se trouver un logement où il doit travailler.
Ou il doit habiter dans un secteur et y habiter.
Quelle enquête est faite...

Aller faire une demande d'aide sociale votre demande seras pas traité dans les 48 heures soyez bien certain, vous n'aurez pas votre premier chèque dans les 8 jours suivant.

Voilà le traitement du simple citoyen discriminé par son gouvernement.


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